Samedi 23 et dimanche 24 mars de 13h à 14h30, le Musée du Quai Branly résonnera des voix des femmes autochtones décidées à faire entendre leur combat.
Vous connaissez sûrement WWF pour son panda, comme symbole de son activisme écologique. Créée il y a 58 ans par des biologistes britanniques, WWF (World Wildlife Fund ou Fonds mondial pour la nature) est aujourd’hui l’une des plus grandes ONG environnementalistes, sur le devant de la scène pour avoir financé des groupes violents.
Au Québec, 2,3% de la population est autochtone. Et là encore, les femmes y sont malmenées, violentées, voire assassinées. Les chiffres sont édifiants : 80% d’entre elles subissent des violences conjugales
Collectivité d’Outre-Mer française, la Nouvelle-Calédonie est un territoire où il ne fait pas bon être une femme Kanak. C’est une double marginalisation qu’elles doivent affronter.La Nouvelle-Calédonie détient un triste record : celui des violences physiques et sexuelles faites aux femmes : 8 fois supérieures à celles en métropole.
Alors que la France ne reconnaît pas officiellement les peuples autochtones, elle accepte de fait l’existence des Kanaks et des Amérindiens de Guyane. Ces derniers conservent leurs traditions, et à titre d’exemple, les chefs coutumiers. Depuis 1997, c’est une femme qui a été désignée au sein de la Nation Kali’na. Un symbole fort et une grande fierté pour les femmes de Guyane.
Dans la lignée d’Olympe de Gouges, il existe une pensée féministe occitane depuis le Moyen Age. Nombreuses et souvent oubliées, les poétesses ont largement participé à raviver la culture et la langue occitanes, peu considérées par la France.
Au XVIIIe siècle, une femme mène un combat féministe et avant tout humaniste. Frondeuse et ennemie de toutes les exclusions, Olympe de Gouges prône toute sa vie durant des réformes novatrices, qui devront attendre le XX° siècle pour voir le jour : instauration du divorce, abolition de l’esclavage et de la peine de mort, création de maternités, ...
"Nous venons et sommes la terre" c’est en ces termes que Vandana Shiva, éco-féministe indienne, s’est exprimée lors d’une conférence organisée par l’association Sol à Paris le vendredi 22 janvier. Des mots-clés pour redéfinir une société plus juste et plus respectueuse de l’environnement.
L’écocide désigne la destruction de quelque chose de nécessaire à la survie de l’espèce humaine. La nature faisant partie de ce patrimoine mondial, bientôt les crimes écologiques seront considérés comme des crimes contre l’humanité.
Jeudi 07 février, l’Organisation International de la Francophonie, organise un débat autour du travail informel, tout cela en présence de Hindou Oumarou Ibrahim. Elle abordera ce sujet qui est un réel problème en Afrique Sub-saharienne.